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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 02:07




Les "pauvres cons", qui ont voté Sarko (mais pas seulement), bénéficient d'une immense bâtisse décervelante où ils peuvent boire de la bière et beugler comme des veaux histoire d'oublier qu'ils se sont fait entuber en beauté: le "SDF" (ah, j'en ris toujours...), qui, vu d'un certain point est dans le prolongement de la basilique de Saint-Denis. Un tombeau pour les rois, un gros truc qui fit office d' opium du peuple (noter que le siège de l'huma a poussé juste à côté, mais ne lui arrive même pas à la cheville) collé à un machin en béton tel une soucoupe de "Mars attack" qui se serait posée là comme une grosse bouse ; à chacun son époque, les vieilles religions perdurent et les nouvelles se portent bien, merci. 
Mais quand je vois ça, ça gâche les perspectives de jours meilleurs. Le XXI ème siècle, comme les autres... 
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 02:00


Cette vidéo est connue. Mais mérite d'être vue à nouveau. Le bonhomme a un tel aplomb pour raconter ses énormités, que ça me rappelle un pote à lui ; si si, celui qui ne supporte pas qu'on rapporte sur une malheureuse feuille 21 X 29,7 ses propres mots : "casse-toi pauvre con". M'enfin voyons, son ami le dit si bien, "il n'y a pas de pauvres en France"...
Il reste juste les cons, certainement... 
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 00:22



Une antique animation qui s'est traduite en actes par la disposition de panneaux à travers la ville, suscitant questionnements et rires de la part de passants. ça n'est pas resté longtemps en place ; je reviendrai peut-être sur cet épisode un jour.
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 00:02



Une histoire de l'art localisée et signée MiB.
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7 novembre 2008 5 07 /11 /novembre /2008 23:26

Voici le fac similé du livre de Made in Banlieue, réalisé quelques temps après la performance. Une sorte de livre d'histoire...

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7 novembre 2008 5 07 /11 /novembre /2008 00:07





Dans la série des expos passées que l'on peut regretter pour n'y être pas allé, il y avait celle d'un collectif  "Foto Povera".

Leur principe assez vague sur la mise en œuvre du photographique laisse le champ libre à toute interprétation de ce que peut être le photographique, bref, ça permet d'envisager la chose de façon assez décomplexée...

C'est sympathique, attrayant.

Peut-être trop?
 
Car si, par exemple, on ne retient de la photo que le "simple" fait d'appuyer sur un bouton, (voir les descriptions de l'acte compulsif de prise d' image décrit par Terrasson), que fait-on alors du travail de tirage de la photo, sa réalisation matérielle sur support papier, les choix de contraste, de densité (je n'y connais pas grand -chose), aux oubliettes? On oublie purement cette part essentielle du travail? 
Aux oubliettes le crayon et le papier du dessinateur? La bombe et le mur du taggueur? Aux oubliettes la capuche, le flippe de tomber sur un flic pendant que cliquette la bombe à la nuit tombée, l'adrénaline et l'acte subversif? Aux oubliettes le galeriste qui s'empoche 80% du prix de la croûte vendue, la pige du critique, le maquettiste qui met en forme la pige du critique? Hm, ça fait du boulot pas cher payé, et certainement pas cher vendu, enfin, ce serait logique, forcément... 
Gratos, peut-être?

Pour moi l'un et l'autre comptent (prendre l'image, et la révéler), ils sont indissociables si travail (même décomplexé) de présentation photographique il y a. 

Ou bien alors faut-il considérer à l'extrême que l'absence d'image photographique sur un mur, une cimaise, ou encore une page web, est l'ultime degré de Foto Povera? 
Auquel cas, il n'est pas nécessaire de monter une expo, la simple déclaration se suffisant à elle-même... Et ça a l'avantage d'économiser le coût du papier, du révélateur, de toute la chimie, ou encore des cartouches d'imprimante... Par ces temps de crise, il faut y penser...

Dans ce cas je déclare que Made in Banlieue est le(a) seul(e) artiste Foto Povera au monde , tous les autres s'en prétendant ne lui arrivent que piètrement aux chevilles.

Bon, trêve de fausse plaisanterie, la mauvaise foi et l'intégrité se mêlant bizarrement dans ce post, mais vue l'heure ça n'a rien d'étonnant ; je voulais juste dire, initialement, que le visuel de présentation de l'expo me plaisait bien. 
Le hic c'est que je n'y suis point allé(e) à cette expo, et que c'est peut-être dommage, ca j'aurai peut-être eu réponses à mes questionnements et interrogations...
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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 23:22
Obey fait un boulot qui était dernièrement visible à la galerie Magda Danysz (Paris), il avait attiré mon regard il y a un ou deux ans, car il faisait la couverture du magazine Étapes (tout sur le graphisme, chouettes articles sur le monde du design graphique, la typo, les logos, les tendances, les studios graphiques etc.). À l'époque, je me cherchais une nouvelle voie professionnelle, qui n'a toujours pas abouti... Le boulot de ce gars m'a redonné le goût à mes bidouillages d'une autre époque, d'avant ma "carrière" avortée d'artiste plasticien(ne), quand j'œuvrai en artiste "contextuel(le)" dans les espaces clefs d'une bourgade banlieusarde dont je tais le nom. Mais je ne vais pas tout livrer comme ça, dès le premier jour. Bref, je livre ici le commentaire visible sur le site de la galerie, ainsi qu'une image d'actualité de cet Obey. D'autres sont visibles ici.

Obey (Shepard Fairey)
La campagne centrale du travail de Shepard Fairey, que l'on reconnaît sous le nom d'obey giant, trouve son origine en 1989. C'est au cours d'une démonstration à un ami, qu'il prend comme exemple une image de mauvaise qualité représentant le visage d'un catcheur français, André Roussinof, connu sous le nom d'"Andre the Giant". Par dérision, il attribue à ce personnage patibulaire un "posse" (une bande dans le milieu du skate), sous-titrant le pochoir de la mention "Andre has a posse". De cette plaisanterie naît un véritable phénomène.

(source : galerie Magda Danysz




source de cette image : http://obeygiant.com/


Je pourrai également blablater sur Ernest Pignon Ernest, mais il n'a jamais répondu au courrier que je lui avais fait parvenir. Cela m'a vivement déçu(e), j'attendais un commentaire, des critiques, un encouragement, une réaction... mais rien. 

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 23:04

Premier article, pour reprendre une vieille histoire, ou plutôt lui donner une nouvelle actualité. 
Les affiches, c'est bien, mais ça salit, les stickers c'est mieux, et plus rapide. 
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